Notre présidente au conseil national de Rimouski

rimouski_2Du 24 au 27 octobre se tient le conseil national de l’AREQ à Rimouskirimouski_1

Le 24 novembre

Pierre-Paul Côté rappelle les dossiers de l’automne: les frais accessoires et les conditions de vie des aînés, la préparation au congrès et la campagne « Tous les jours sans mon sac de plastique ».

La région hôtesse Bas Saint-Laurent,Gaspésie, Côte-Nord et les Îles offre une présentation PowerPoint sur le Québec maritime. Cette région compte 4344 membres.

L’assemblée générale d’ASSUREQ élit Jacques Boucher à la présidence et Benoît Couture à la 2ème vice-présidence. 46262 personnes cotisent à ASSUREQ.

Le 25 octobre
rimouski_3Les affaires financières sont présentées par Nicole Patry-Lisée et Doris Dumais. Il est possible de s’inscrire aux bourses de l’AREQ à partir de janvier 2017. Les informations se trouvent sur le site.
Ginette Plamondon précise la conjoncture politique en soins de santé. Elle propose un vidéo de réflexion sur le système de santé : La santé n’a pas de prix.
Le 26 octobre
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Ginette Plamondon, conseillère en sociopolitique à l’AREQ, nous présente Dix mythes et réalités sur le vieillissement, un texte de Danielle Beaudoin. Vous pouvez le lire sur le lien suivant : 10 mythes et réalités sur le vieillissement

En après-midi, nous avons eu une rencontre du conseil régional Québec-Chaudiere-Appalaches.

Réaction de l’AREQ à la mise à jour économique : enfin du répit en santé, mais on est loin du compte : communique-mise-a-jour-economique-automne-2016

27 octobre

rimouski_5La région Laval-Laurentides-Lanaudière présente une chanson sur les beautés de son territoire.
Vous remarquez au centre Chomedey de Laval, sieur de Maisonneuve, et le curé Labelle à l’extrême droite.
Le conseil national se termine par une conférence de deux spécialistes de l’université du Québec à Rimouski sur l’acceptabilité sociale du projet Énergie Est.
Quelques conclusions des recherches de Yann Fournis :
-Ce projet est une incarnation du vieux modèle de l’exploitation des ressources que nous vivons depuis 400 ans sans gains significatifs.
-Il y a un consensus sur l’ampleur du décalage des risques environnementaux et sociaux et la faiblesse des retombées économiques.
– Les réponses de l’entreprise sont  insuffisantes ou absentes sur les risques et impacts sur le territoire.